jeudi 7 avril 2011

Conclusion

En conclusion, nous avons pu constaté que le trafic de drogue au niveau International semble être une pratique courante. Des gens qui en profites pour s'enrichir, des états qui banalise la pratique avec des sentences bonbons. Nous avons pu voir que des milliards de dollar étaient en jeu. Nous n'avons pas toujours été d'accord avec la façon dont certaines histoires s'étaient passées. La loi semble être clémente dans certains cas. Nous avons vu aussi des gens sont près à servir de mule dans le but de faire un coup d'argent pour le permettre de survivre. Parfois malheureusement il arrive que ces personnes se font prendre et en paye le prix. Nous avons eu du plaisir à créer ce blog. C'est une pratique que nous encourageons, et recommandons de le refaire.

mardi 5 avril 2011

master Kush

http://membres.multimania.fr/masterkush/drogue/salvia.htm

La Salvia est une plante faisant partie des nombreuses espèces de sauges. Comme les autres sauges, elle fait partie de la famille des menthes. Elle fait une très belle plante de maison, mais la plupart des gens qui la font pousser sont intéressé à ses effets psychoactifs fascinants. Le nom Salvia signifie 'Sauge des devins'. Pendant des centaines d'années, elle a été utilisée dans des cérémonies religieuses et curatives par les indiens Mazatèques, vivant dans la province d’Oaxaca, au Mexique. La Salvia est légal dans la plupart des pays. La Salvia ne crée pas de dépendance comme les autres drogues hallucinatoires. Elle diffère des psychédéliques (LSD, psilocybine et mescaline) de plusieurs façons. La Salvia est une herbe altérant la conscience c’est-à-dire qu’elle a une tradition d’usage sacré, pour la méditation profonde. L’effet n’est que de quelques minutes et on ne restera pas marqué par ses effets.

Lors de la consommation de Salvia, on dit que l’on peut atteindre plusieurs niveaux dans notre voyage. On dit également que cette drogue ne crée aucune dépendance. Selon moi ces faits sont contradictoires. Si l’on veut réussir à atteindre le niveau supérieur, il faudra en consommer plus d’une fois jusqu’à atteindre le nirvana de la chose. De plus, pour retrouver cette effet d’euphorie du niveau supérieur, il faudra augmenter la dose à chaque fois puisque notre corps d’habituera tranquillement au nouveau intrant à l’intérieur de nous. Également, puisque l’effet n’est que d’une courte durée, ceux qui veulent vraiment déconnecter sur une longue durée devra ingérer une grande quantité ou de petites quantités avec des répétitions élevés sur des intervalles régulier. Malgré que la Salvia soit une drogue légale, cela reste une drogue et une consommation intelligente de la part du consommateur doit être faite. Je crois également que lorsqu’on vend ce genre de produit, il serait intéressant d’informer le consommateur sur les effets et les risques que celui-ci peut engendrer.

Le khat, entre drogue et tradition

Cultivé en Afrique de l'Est et dans la péninsule arabique depuis l'Antiquité, le khat y est consommé de manière rituelle et ancestrale pour ses feuilles et ses tiges qui contiennent un psychotrope léger. Pour l'ingérer, on mâche les feuilles jusqu'à en faire une boule qu'on garde ensuite dans la bouche, afin d'en extraire le jus. Les effets peuvent varier selon les gens, c’est-à-dire que l’on ressent de l’euphorie ou simplement cela peut servir de coupe faim. Malgré qu’on ne considère pas cette drogue comme un danger public, elle reste illégale dans plusieurs pays. Au Yémen, réputé pour produire un khat de très grande qualité, on estime que 80% des hommes et 50% des femmes «broutent» ces feuilles qu'on peut acheter librement sur certains marchés. Là-bas, sa consommation a donc des implications sociales et économiques importantes. Sociales puisque les habitants ont même aménagé leurs maisons afin d’avoir une pièce remplie de coussins pour sociabiliser et consommer. Économiques puisque la culture du khat permet à de nombreux habitants du Yémen d’avoir un revenus et que son marché est en pleine croissance.

Selon Michel Graf, directeur de l'institut suisse de prévention de l'alcoolisme et autres toxicomanies (ISPA), «ses effets ne peuvent être considérés comme un grave danger pour la santé publique». Ces effets sont minimes et ne crée pas une dépendance accrue. De plus, cette culture offre de l’emploi à plusieurs habitants et permet à certains pays des expansions économiques assez importantes. De la drogue reste de la drogue mais si elle n’est pas nuisible pour la santé ou contraignante pour le comportement, je ne vois pas le problème d’en consommer. Comme dans chaque chose il faut savoir consommer avec modération, donc le choix de la quantité consommer dépend du consommateur lui-même et de ses principes face à la chose, c’est question de jugement personnel.

http://www.tsrdecouverte.ch/13-16/dossiers/all/yemen/yemen-khat

Traitement à l’héroïne de la toxicomanie opiacée : l’expérience suisse

http://www.parl.gc.ca/37/1/parlbus/commbus/senate/com-f/ille-f/presentation-f/ucht-f.htm

L’épidémie de consommation d’héroïne qui a commencé tôt dans les années 1970 a produit un nombre de toxicomanes estimé à 30 000 à 40 000. Ce taux élevé est en partie former de personnes souffrant déjà d’une autre dépendance soit à l’alcool, au tabac ou médicaments prescrits. La réponse thérapeutique a été de former des communautés thérapeutiques et des cliniques et centres d’assistances dirigés par l’État, offrant depuis 1975 des traitements d’entretien à la méthadone. Après de vifs débats, des mesures de réductions des risques ont été mis en place puisque il n’y avait pas une réduction de toxicomanes élevés ; échange de seringues, salles d’injection, programme de jour à faible seuil. On croit qu’en bâtissant ces projet la santé des toxicomanes et leur intégration sociale peut s’améliorer notablement. Les effets secondaires au sevrage par la diamorphine prescrite sont relativement peu nombreux et aucune surdose fatale ne s’est encore produite. La diamorphine est enregistrée comme médicament de maintien des héroïnomanes.

Aujourd’hui ce n’est plus vraiment le temps de l’héroïne mais cela a été, si on peut le dire, un fléau pour notre ancienne génération. Une drogue dure qui crée des dépendances incroyables et que notre corps réclame qui peut aller jusqu’à souffrir physiquement du manque de drogue. Les systèmes de réduction des risques sont encore en place aujourd’hui mais on les utilise d’avantage pour les autres consommations de drogues comme le crack qui sont beaucoup plus à la mode. Plusieurs débats ont été lancés sur le sujet car on disait que cela encourageait la consommation. Personnellement, je crois que la consommation est un fléau qui crée des dépendances auxquels on ne peut se permettre de porter un jugement. Il y aura toujours des dépendances alors puisqu’on ne peut freiner adéquatement la consommation alors pourquoi ne pas installer des endroits où les toxicomanes pourront consommer de manière sécuritaire pour eux-mêmes et pour les autres ? Ces centres permettent aux toxicomanes d’utiliser des seringues propres, de les jeter dans un endroit appropriés et les travailleurs de rues peuvent exercer leur influence chaque fois qu’un client vient. Lentement mais sûrment !

drogue et viol

http://netfemmes.cdeacf.ca/documents/drogue_viol.html

Dans cet article on parle de la drogue du viol. Habituellement utilisé pour faciliter les actes sexuels, maintenant en vente sur le marché de la drogue, on peut s’en procurer facilement. La préoccupation de drogue n’est pas nécessairement la revente du produit mais la nature et les conséquences graves que peut causer l’agression sexuelle car elle comporte toujours un élément de contrainte et constitue un acte de domination exercé en général par des hommes sur des femmes ou des enfants. Les personnes qui sont sous l’effet de la drogue du viol n’en sont habituellement pas conscientes. Cette drogue entraîne une soumission et l’amnésie chez les victimes, ce qui donne aux agresseurs un pouvoir socialement très inquiétant. Cet article présente donc des moyens de se responsabiliser et d’apprendre à éviter d’en consommer contre son gré et à savoir dire non.

Trafic de drogue: un reportage et une saisie record à Tremblay-en-France

Un reportage de TF1 émettait en onde un reportage se nommant « Mes voisins sont des dealers » sur un groupe de trafiquants de Tremblay-en-France (Seine-Saint-Denis), au même moment la police fît une arrestation pour le moins relié. Un million d’euros en liquide ont été saisis, c’est l’une des plus importantes saisies réalisées dans le cadre d’un démantèlement de trafic de drogue en France. Au total, 980.000 euros, entre 1,5 et 2 kg de cocaïne, 300 à 400 grammes d'héroïne, la même quantité de cannabis et un pistolet automatique ont été perquisitionné par les policiers dans un ou plusieurs appartements de la cité du Grand ensemble de Tremblay-en-France. Le directeur adjoint de la Police judiciaire de Paris, Jean-Jacques Herlem, a reconnu à la télévision qu'il était "dur de réprimer les trafics" dans les cités. "Ce qui est compliqué, c'est de réunir des éléments à charge contre ces trafiquants, dont la seule place est sous les verrous", a-t-il poursuivi.

Je trouve cela étrange qu’il soit aussi dur de réprimer les trafics de drogues. Il me semble que ce trafic provoque des fléaux importants dans les villes donc les policiers devraient y mettre un effort plus accru. La justice a besoin de preuve pour juger adéquatement ces criminels mais il ne faut pas avoir une quantité industrielle de drogue pour être jugé. Je crois que si on commençait par arrêter tous les petits truands, les chefs de l’organisation n’auront plus de choix de faire un commerce en gros et ceux-ci se feront arrêter à leur tour. L’acte est illégale mais cause également beaucoup de dommage à la société que se soient pour les toxicomanes ou pour les simples habitants qui ont peur de sortir la nuit et se retrouver dans une bataille de gang pour un territoire de revente.

http://www.lexpress.fr/actualite/societe/fait-divers/trafic-de-drogue-un-reportage-et-une-saisie-record-a-tremblay-en-france_859120.html

lundi 4 avril 2011

Une banque Américaine a blanchi 380 milliard $

http://www.lesmotsontunsens.com/une-banque-americaine-a-blanchi-380-milliards-de-dollars-des-cartels-mexicains-10218

Un géant des banques Américaine, Wachovia, fut sous études. Celle qui est accusé d'avoir blanchi près de 380 Milliard. De l'argent provenant du trafic de stupéfiant qui provenait du Mexique. La plupart des banques impliquées était près de la faillite. Le phénomène à débuter en 2004. Celle ci reçu une amende de 110 milions de dollar pour avoir utilisé de l'argent provenant du trafic de drogue et de 50 millions pour ne pas avoir échouer de surveiller le mouvement de leurs capitaux. L'entreprise à fait face a 6000 à 7000 mesures de redressement. Malgré le fait qu'un employé ait mis au grand jour l'affaire. Ceci n'a pas eu l'air de déranger les hauts dirigeants. En Mai 2007 suite à des pressions du ministère de la justice Américaine les ont obligé de stopper leurs relations d'affaire avec les mexicains. Au lieu de lancer une enquête interne ils ont préféré faire l'autruche. Pourquoi aucune accusation pénale n'a été portée. L' ONUDC à dit ne pas pouvoir puisque l'argent à tellement bien été blanchi qu'elle n'a pas retrouvé cette argent. Certaine banque n'avait que pour seul liquidité les profits de ce trafic, parce qu'elles se trouvaient au bord de la faillite.

À mon avis je trouve ça tout simplement INCROYABLE. Même le gouvernement était au courant et il n'a rien fait. Les hauts dirigeants faisaient l'autruche, sans même avoir de remord. Je suis convaincu que le gouvernement devait en tiré un bénéfice pour ne pas avoir eu l'intention de stopper la pratique. Cependant, cette histoire me laisse songeur, je ne suis pas en accord avec le trafic de cocaïne, par contre si dans le monde la légalisation de la marijuana s'adonnait à le devenir. Le gouvernement, serait-il en mesure de trouver son profit, en créant une société d'état qui gérait ce type de produit, comme pour sa SAQ. Si des banques réussissent à transiger des milliards de ^profit alors, là, le gouvernement pourrait réinvestir cette argent dans la santé, l'éducation et tous les autres programmes afin d'améliorer l'économie du pays.