jeudi 7 avril 2011

Conclusion

En conclusion, nous avons pu constaté que le trafic de drogue au niveau International semble être une pratique courante. Des gens qui en profites pour s'enrichir, des états qui banalise la pratique avec des sentences bonbons. Nous avons pu voir que des milliards de dollar étaient en jeu. Nous n'avons pas toujours été d'accord avec la façon dont certaines histoires s'étaient passées. La loi semble être clémente dans certains cas. Nous avons vu aussi des gens sont près à servir de mule dans le but de faire un coup d'argent pour le permettre de survivre. Parfois malheureusement il arrive que ces personnes se font prendre et en paye le prix. Nous avons eu du plaisir à créer ce blog. C'est une pratique que nous encourageons, et recommandons de le refaire.

mardi 5 avril 2011

master Kush

http://membres.multimania.fr/masterkush/drogue/salvia.htm

La Salvia est une plante faisant partie des nombreuses espèces de sauges. Comme les autres sauges, elle fait partie de la famille des menthes. Elle fait une très belle plante de maison, mais la plupart des gens qui la font pousser sont intéressé à ses effets psychoactifs fascinants. Le nom Salvia signifie 'Sauge des devins'. Pendant des centaines d'années, elle a été utilisée dans des cérémonies religieuses et curatives par les indiens Mazatèques, vivant dans la province d’Oaxaca, au Mexique. La Salvia est légal dans la plupart des pays. La Salvia ne crée pas de dépendance comme les autres drogues hallucinatoires. Elle diffère des psychédéliques (LSD, psilocybine et mescaline) de plusieurs façons. La Salvia est une herbe altérant la conscience c’est-à-dire qu’elle a une tradition d’usage sacré, pour la méditation profonde. L’effet n’est que de quelques minutes et on ne restera pas marqué par ses effets.

Lors de la consommation de Salvia, on dit que l’on peut atteindre plusieurs niveaux dans notre voyage. On dit également que cette drogue ne crée aucune dépendance. Selon moi ces faits sont contradictoires. Si l’on veut réussir à atteindre le niveau supérieur, il faudra en consommer plus d’une fois jusqu’à atteindre le nirvana de la chose. De plus, pour retrouver cette effet d’euphorie du niveau supérieur, il faudra augmenter la dose à chaque fois puisque notre corps d’habituera tranquillement au nouveau intrant à l’intérieur de nous. Également, puisque l’effet n’est que d’une courte durée, ceux qui veulent vraiment déconnecter sur une longue durée devra ingérer une grande quantité ou de petites quantités avec des répétitions élevés sur des intervalles régulier. Malgré que la Salvia soit une drogue légale, cela reste une drogue et une consommation intelligente de la part du consommateur doit être faite. Je crois également que lorsqu’on vend ce genre de produit, il serait intéressant d’informer le consommateur sur les effets et les risques que celui-ci peut engendrer.

Le khat, entre drogue et tradition

Cultivé en Afrique de l'Est et dans la péninsule arabique depuis l'Antiquité, le khat y est consommé de manière rituelle et ancestrale pour ses feuilles et ses tiges qui contiennent un psychotrope léger. Pour l'ingérer, on mâche les feuilles jusqu'à en faire une boule qu'on garde ensuite dans la bouche, afin d'en extraire le jus. Les effets peuvent varier selon les gens, c’est-à-dire que l’on ressent de l’euphorie ou simplement cela peut servir de coupe faim. Malgré qu’on ne considère pas cette drogue comme un danger public, elle reste illégale dans plusieurs pays. Au Yémen, réputé pour produire un khat de très grande qualité, on estime que 80% des hommes et 50% des femmes «broutent» ces feuilles qu'on peut acheter librement sur certains marchés. Là-bas, sa consommation a donc des implications sociales et économiques importantes. Sociales puisque les habitants ont même aménagé leurs maisons afin d’avoir une pièce remplie de coussins pour sociabiliser et consommer. Économiques puisque la culture du khat permet à de nombreux habitants du Yémen d’avoir un revenus et que son marché est en pleine croissance.

Selon Michel Graf, directeur de l'institut suisse de prévention de l'alcoolisme et autres toxicomanies (ISPA), «ses effets ne peuvent être considérés comme un grave danger pour la santé publique». Ces effets sont minimes et ne crée pas une dépendance accrue. De plus, cette culture offre de l’emploi à plusieurs habitants et permet à certains pays des expansions économiques assez importantes. De la drogue reste de la drogue mais si elle n’est pas nuisible pour la santé ou contraignante pour le comportement, je ne vois pas le problème d’en consommer. Comme dans chaque chose il faut savoir consommer avec modération, donc le choix de la quantité consommer dépend du consommateur lui-même et de ses principes face à la chose, c’est question de jugement personnel.

http://www.tsrdecouverte.ch/13-16/dossiers/all/yemen/yemen-khat

Traitement à l’héroïne de la toxicomanie opiacée : l’expérience suisse

http://www.parl.gc.ca/37/1/parlbus/commbus/senate/com-f/ille-f/presentation-f/ucht-f.htm

L’épidémie de consommation d’héroïne qui a commencé tôt dans les années 1970 a produit un nombre de toxicomanes estimé à 30 000 à 40 000. Ce taux élevé est en partie former de personnes souffrant déjà d’une autre dépendance soit à l’alcool, au tabac ou médicaments prescrits. La réponse thérapeutique a été de former des communautés thérapeutiques et des cliniques et centres d’assistances dirigés par l’État, offrant depuis 1975 des traitements d’entretien à la méthadone. Après de vifs débats, des mesures de réductions des risques ont été mis en place puisque il n’y avait pas une réduction de toxicomanes élevés ; échange de seringues, salles d’injection, programme de jour à faible seuil. On croit qu’en bâtissant ces projet la santé des toxicomanes et leur intégration sociale peut s’améliorer notablement. Les effets secondaires au sevrage par la diamorphine prescrite sont relativement peu nombreux et aucune surdose fatale ne s’est encore produite. La diamorphine est enregistrée comme médicament de maintien des héroïnomanes.

Aujourd’hui ce n’est plus vraiment le temps de l’héroïne mais cela a été, si on peut le dire, un fléau pour notre ancienne génération. Une drogue dure qui crée des dépendances incroyables et que notre corps réclame qui peut aller jusqu’à souffrir physiquement du manque de drogue. Les systèmes de réduction des risques sont encore en place aujourd’hui mais on les utilise d’avantage pour les autres consommations de drogues comme le crack qui sont beaucoup plus à la mode. Plusieurs débats ont été lancés sur le sujet car on disait que cela encourageait la consommation. Personnellement, je crois que la consommation est un fléau qui crée des dépendances auxquels on ne peut se permettre de porter un jugement. Il y aura toujours des dépendances alors puisqu’on ne peut freiner adéquatement la consommation alors pourquoi ne pas installer des endroits où les toxicomanes pourront consommer de manière sécuritaire pour eux-mêmes et pour les autres ? Ces centres permettent aux toxicomanes d’utiliser des seringues propres, de les jeter dans un endroit appropriés et les travailleurs de rues peuvent exercer leur influence chaque fois qu’un client vient. Lentement mais sûrment !

drogue et viol

http://netfemmes.cdeacf.ca/documents/drogue_viol.html

Dans cet article on parle de la drogue du viol. Habituellement utilisé pour faciliter les actes sexuels, maintenant en vente sur le marché de la drogue, on peut s’en procurer facilement. La préoccupation de drogue n’est pas nécessairement la revente du produit mais la nature et les conséquences graves que peut causer l’agression sexuelle car elle comporte toujours un élément de contrainte et constitue un acte de domination exercé en général par des hommes sur des femmes ou des enfants. Les personnes qui sont sous l’effet de la drogue du viol n’en sont habituellement pas conscientes. Cette drogue entraîne une soumission et l’amnésie chez les victimes, ce qui donne aux agresseurs un pouvoir socialement très inquiétant. Cet article présente donc des moyens de se responsabiliser et d’apprendre à éviter d’en consommer contre son gré et à savoir dire non.

Trafic de drogue: un reportage et une saisie record à Tremblay-en-France

Un reportage de TF1 émettait en onde un reportage se nommant « Mes voisins sont des dealers » sur un groupe de trafiquants de Tremblay-en-France (Seine-Saint-Denis), au même moment la police fît une arrestation pour le moins relié. Un million d’euros en liquide ont été saisis, c’est l’une des plus importantes saisies réalisées dans le cadre d’un démantèlement de trafic de drogue en France. Au total, 980.000 euros, entre 1,5 et 2 kg de cocaïne, 300 à 400 grammes d'héroïne, la même quantité de cannabis et un pistolet automatique ont été perquisitionné par les policiers dans un ou plusieurs appartements de la cité du Grand ensemble de Tremblay-en-France. Le directeur adjoint de la Police judiciaire de Paris, Jean-Jacques Herlem, a reconnu à la télévision qu'il était "dur de réprimer les trafics" dans les cités. "Ce qui est compliqué, c'est de réunir des éléments à charge contre ces trafiquants, dont la seule place est sous les verrous", a-t-il poursuivi.

Je trouve cela étrange qu’il soit aussi dur de réprimer les trafics de drogues. Il me semble que ce trafic provoque des fléaux importants dans les villes donc les policiers devraient y mettre un effort plus accru. La justice a besoin de preuve pour juger adéquatement ces criminels mais il ne faut pas avoir une quantité industrielle de drogue pour être jugé. Je crois que si on commençait par arrêter tous les petits truands, les chefs de l’organisation n’auront plus de choix de faire un commerce en gros et ceux-ci se feront arrêter à leur tour. L’acte est illégale mais cause également beaucoup de dommage à la société que se soient pour les toxicomanes ou pour les simples habitants qui ont peur de sortir la nuit et se retrouver dans une bataille de gang pour un territoire de revente.

http://www.lexpress.fr/actualite/societe/fait-divers/trafic-de-drogue-un-reportage-et-une-saisie-record-a-tremblay-en-france_859120.html

lundi 4 avril 2011

Une banque Américaine a blanchi 380 milliard $

http://www.lesmotsontunsens.com/une-banque-americaine-a-blanchi-380-milliards-de-dollars-des-cartels-mexicains-10218

Un géant des banques Américaine, Wachovia, fut sous études. Celle qui est accusé d'avoir blanchi près de 380 Milliard. De l'argent provenant du trafic de stupéfiant qui provenait du Mexique. La plupart des banques impliquées était près de la faillite. Le phénomène à débuter en 2004. Celle ci reçu une amende de 110 milions de dollar pour avoir utilisé de l'argent provenant du trafic de drogue et de 50 millions pour ne pas avoir échouer de surveiller le mouvement de leurs capitaux. L'entreprise à fait face a 6000 à 7000 mesures de redressement. Malgré le fait qu'un employé ait mis au grand jour l'affaire. Ceci n'a pas eu l'air de déranger les hauts dirigeants. En Mai 2007 suite à des pressions du ministère de la justice Américaine les ont obligé de stopper leurs relations d'affaire avec les mexicains. Au lieu de lancer une enquête interne ils ont préféré faire l'autruche. Pourquoi aucune accusation pénale n'a été portée. L' ONUDC à dit ne pas pouvoir puisque l'argent à tellement bien été blanchi qu'elle n'a pas retrouvé cette argent. Certaine banque n'avait que pour seul liquidité les profits de ce trafic, parce qu'elles se trouvaient au bord de la faillite.

À mon avis je trouve ça tout simplement INCROYABLE. Même le gouvernement était au courant et il n'a rien fait. Les hauts dirigeants faisaient l'autruche, sans même avoir de remord. Je suis convaincu que le gouvernement devait en tiré un bénéfice pour ne pas avoir eu l'intention de stopper la pratique. Cependant, cette histoire me laisse songeur, je ne suis pas en accord avec le trafic de cocaïne, par contre si dans le monde la légalisation de la marijuana s'adonnait à le devenir. Le gouvernement, serait-il en mesure de trouver son profit, en créant une société d'état qui gérait ce type de produit, comme pour sa SAQ. Si des banques réussissent à transiger des milliards de ^profit alors, là, le gouvernement pourrait réinvestir cette argent dans la santé, l'éducation et tous les autres programmes afin d'améliorer l'économie du pays.

dimanche 3 avril 2011

trafic de drogue, 26 interpellations

Dans ce vidéo, on y retrouve la saisie d'un gang de personnes qui vendaient en plein jour, au beau milieu de la foule. Des mois de préparations, une centaine de policiers. De jeunes français vendaient du crack comme si de rien n'était. Durant la projection du vidéo, le narrateur parle de 7 suspect menotté au sol. Au total 26 personnes seront mis sous détention. Tous soupsonné de faire partie d'un vaste résaux de crack. Évidement, au moment de la saisie on retrouva la dite drogue ainsi que de l'argent liquide. Les policiers on décidé d'intervenir en plein jour pour en signe de message à la population qui semble exaspéré de la situation.¸

Face à cette vidéo, je ne peux qu'observer l'empleur du problème. À montréal nous sommes au courant de ce qui se passe, nous ne le voyons pas toujours, cependant ce n'est pas comme en France, sur le parquet de l'Église Saint-Denis. Ce n'est pas non plus une petite drogue. De plus les revendeur s'adonnaient en plein jour à leur pratique, je crois que la ville et les autorités ont négligé le problème. Comment un ville exaspéré de voir les "dealers" agir de la sorte. On voit dans le vidéo les policiers amenés les autres suspects qui étaient sur les rues avoisinantes. Si dans des pays tels que la France, le Canada, ainsi que d'autres pays européens qui devraient être en mesure de contrôler de fléot.

source: http://www.youtube.com/watch?v=MU12VcIrp-Q

mercredi 23 mars 2011

Maroc, et son trafic de drogue

En janvier 1997,la Commission parlementaire d’enquête sur la drogue calculait à l'intérieur de son rapport final que les cultures de cannabis représentaient au Maroc une superficie de 70 000 hectares, soit produit, en 1995, 1 500 t de haschisch. Au moment de lancer sa guerre à la drogue, à l’automne 1992, le roi Hassan II a reconnu que les cultures s’étendaient sur 50 000 ha (l’évaluation généralement admise jusque là variait entre 30 000 ha et 35 000 ha), sans avancer de chiffre de production. Mais dès 1993, l’OGD se fondait sur une longue enquête de terrain pour établir une fourchette de 65 000 ha à 74 000 ha, représentant un potentiel annuel de production de haschisch compris entre 1 500 t et 2 000 t.

Il difficile de s'imaginer toute l'ampleur de ces plantations. On parle de plus de 65 000 ha de terrain. Une production égale à 2000 t de cannabis. Ils sont de loin l'un des plus grand producteur de cannabis et aussi un de ses dériver qui est le haschisch. Une longue guerre a commencé pour contrer ce fléot. Devant la Commission des stupéfiants des Nations unies à Vienne, les diplomates ont dit que dans le pire des situations il avait été saisi 450 t de résine. Je trouve ce chiffre astronomique. la superficie doit dépasser celle des terres cultivés par nos cultivateur québécois. C'est s'imaginer plus d'une terre de blé d'inde qui servirait uniquement à la production de cannabis.


http://beurgay.free.fr/marocdrogue.htm

mercredi 16 mars 2011

Un gros trafic d'héroïne démantelé

Dans cette article il est question du démantèlement d'un trafic d'héroïne. Deux hommes et une femme on été intercepté ayant en leur possession 500g de poudres. Après des semaines d'investigations la brigade des stups à passer à l'action arrêtant un homme de 28ans et une femme de 24 ans qui en échange d'héroïne louaient au "dealer" un toit, nourriture, téléphone et régulièrement transport. Une logistique complète qui leur permettait de récupérer de la drogue en guise du prix de pension. Les perquisitions ont également permis de découvrir 1 500 € en liquide. De l'argent qui provient vraisemblablement du trafic. En garde à vue, le « grossiste » présumé a limité ses mots et ses responsabilités. Les enquêteurs ont pour eux quelques allers-retours et des indices « solides » pour établir le trafic. Le couple vendait également une partie de leurs deux grammes de poudre quotidienne pour arranger leur ordinaire.

Il est étonnent de voir ce que des gens sont prêt à faire afin de subvenir à leurs besoins. Échanger des services contre des quantités de drogues afin de palier aux besoins de consommation et pour payer factures ainsi que leur mode de vie n'est pas rien. Contenue de la sorte de stupéfiant et de la sévérité de celle-ci je suis surpris de voir avec quelle aisance ils ont pu rentré de tels quantités de drogues. Déjà que cette drogue (héroïne) est rare et que son prix est exorbitant, je suis surpris de voir à quel prix il était vendu à Toulouse. De plus, cette drogue qui est à l'origine de l'explosion du sida dans les années 70 semble être revenue à la mode. Il est déconcertant de se dire que plus de 40ans plus tard une recrudescence de ce fléau sois de retour frappant à notre porte. Il sera donc très important que les autorités puissent stopper cela avant que le commerce renaisse.



http://www.ladepeche.fr/article/2009/04/08/589258-Un-gros-trafic-d-heroine-demantele.html

Prison de Bordeaux Un nouvel appareil pour détecter la drogue

L’article dont je veux vous parler à pour sujet le trafic de drogue dans l’univers carcéral. Il semble que le trafic de drogues dans les prisons se fasse assez aisément, assez aisément du moins pour justifier, au coût de 250 000 dollars, l’achat d’un détecteur de drogue qui surveillera les entrées et sorties de tous les visiteurs et qui contrôlera hebdomadairement chaque prisonnier, probablement à des heures aléatoires car sinon cela ne servirait à rien, et tout ça dans le but d’enrayer le trafic de drogues dans la prison, qui y est solidement enraciné, à un tel point qu’en procédant à la fouille des chaussures des prisonniers, les gardiens ont découvert des quantités non-négligeables de marijuana dans de petits sachets cachés çà et là dans les souliers. Le phénomène du trafic de drogue dans les prisons ne se limite pas à Bordeau car 700 saisies ont été faites dans l’ensemble du réseau carcéral québécois.

Je crois que l’achat du détecteur de drogue est un investissement profitable pour la prison, car la prison, c’est fait pour rester emprisonné, ce n’est pas supposé être agréable, et si on a accès à de la drogue on a accès à une sorte de liberté or c’est justement le principe de la prison d’enlever ce genre de libertés. Une prison n’est pas propice à la réhabilitation d’un criminel si en son sein, le criminel déroge encore aux lois établies et a l’occasion de recréer un univers semblable à celui pour lequel il a été envoyé en prison ! Donc en résumé, consommer de la drogue en prison, c’est mal et qu’il y ait vente de drogue en prison, c’est absurde et il faut y remédier : j’approuve totalement l’achat d’un détecteur de drogue et puisse-t-il détruire cette mauvaise herbe –la drogue- qui a envahi nos prisons

http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/national/archives/2010/10/20101004-160510.html

Trafic de stupéfiants à Québec: trois arrestations

Résumons.
Les policiers de Québec ont arrêté deux personnes lors de deux perquisitions liées à la production et à la vente de stupéfiants. L'unité des stupéfiants accompagnée du groupe tactique d'intervention de la police de Québec a démantelé une plantation de cannabis et arrêté sur les lieux deux individus de 47 et 48 ans. Ils ont aussi saisi 93 plants de cannabis qui n'étaient pas encore à maturité (1000 $ le plant), un pistolet 9 mm avec des munitions et 21 comprimés de ce qui pourrait être des méthamphétamines. Les deux hommes sont tous deux accusés de bris d'engagement, puisqu’il était connu des policiers pour des crimes similaires, à quoi s'ajoutent des accusations de production de cannabis, de possession de stupéfiants, de possession d'une arme à autorisation restreinte (c'est-à-dire qui nécessite un permis particulier) et d'entreposage négligeant d'une arme à feu.

Avisons.
Dans cette article on fait mention que les deux hommes qui ont été arrêtés étaient en bris d’engagement et étaient déjà bien connus des policiers pour des activités similaires dont ils ont au préalable été accusés. Récidivistes. Je trouve dommage que ces deux hommes aillent déjà été punis pour leur actes, on purger leur peine (et donc devraient avoir appris des conséquences de leurs actions) recommence et cette fois-ci commettent des crimes encore plus graves. Les criminels croient peut-être qu’ils sont plus futés ou simplement tout au contraire manque légèrement de jugement. En résumé ce que je veux dire c’est que le crime n’est pas payant au bout du compte.

http://www.radio-canada.ca/regions/abitibi/2010/10/06/001-drogue_Abitibi.shtml
http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faits-divers/201101/14/01-4360266-trafic-de-stupefiants-a-quebec-trois-arrestations.php

Un mort lors d'une opération policière

Résumons.
Un suspect de 49 ans a été tué à Val-d'Or, par un effectif policier, lors de l'opération Écrevisse visant à démanteler un réseau de trafic de stupéfiants. L'incident s'est produit vers 5 h 45 lors d'une perquisition à l'intérieur d'une résidence du boulevard Sabourin. L'homme aurait été en possession d'une arme à feu. Près de 370 policiers ont participé à l'opération Écrevisse qui a permis d'arrêter 38 personnes. Une quarantaine de perquisitions ont aussi été menées, notamment dans des commerces et des immeubles à logement du secteur de Val-d'Or. Des armes à feu, des munitions, des stupéfiants et 300 000 $ en argent ont été saisis. Les policiers de la Sûreté du Québec en Abitibi-Témiscamingue travaillent sur cette enquête depuis près de deux ans. Les personnes visées sont les têtes dirigeantes et les bras droits d'un réseau de trafic de stupéfiants qui s'est installé dans la région.

Avisons.
Je crois qu’un bon plan d’action à long terme est bénéfique dans une enquête telle que celle-ci. Puisque l’opération Écrevisse a été échelonnée sur deux ans, les policiers ont eu une période de temps raisonnable pour s’infiltrer et ramasser l’information nécessaire pour procéder à des arrestations concluantes. Malgré les saisis d’armes à feu, de munitions, de stupéfiants et de l’argent, rien ne justifie la mort d’un suspect. Par ailleurs, le temps investis dans l’enquête pour la recherche d’informations aurait pu être également consacré pour s’informer du passé du suspect et de son caractère violent ou de ses possessions pour être en mesure d’agir adéquatement et sans danger pour la vie de quiconque. On devrait prévoir que lorsqu’une opération de ce genre se produit, la perquisition à l’intérieur d’une résidence, que le propriétaire de cette maison n’allait pas les accueillir à cœur joie. Bref, la planification et l’organisation sont la clé et comme le proverbe le dit ; Mieux vaut prévenir que guérir !

http://www.radio-canada.ca/regions/abitibi/2010/10/06/001-drogue_Abitibi.shtml

Le procès de Werner Kyling se poursuit

Résumons.
L’affaire qui nous intéresse aujourd’hui, c’est l’histoire d’un père, Werner Kyling et de ses deux fils qui se sont vu accuser de gangstérisme, complot, production et trafic de stupéfiants. La preuve contre les Kylings est accablante : on a trouvé à leur domicile une somme de 236 400$ liquide, deux barils contenant une vingtaine de kilogrammes de marijuana, et à la première audience du procès, les policiers avaient ajouté à cela dix gros sacs contenant également de la marijuana. Le procès en cours est le résultat d’une enquête policière à grand déploiement, mobilisant plus de 300 policiers, qui avait comme objectif de dissoudre un cartel appelé «le cartel Bedford». Selon les données recueillies, il ne faut pas négliger la taille de ce cartel, dans lequel sont impliquées des sommes estimées à cinq millions de dollars, ainsi que neuf procès dont la sentence est déjà connue, sept des neuf accusés ayant été blanchi de toutes accusations.

Avisons.
Un cartel impliquant 300 policiers devrait normalement avoir un pourcentage de réussite plus élevé : 7 des 9 accusés ont été blanchis ! Un cartel impliquant des millions de dollars et demandant une telle mobilisation, et on nous dit que seulement 7 des 9 accusés ne sont pas coupables ? A-t-on bâclé la preuve ? Ces gens étaient-ils vraiment innocents ? Je crois que non. Quand on traîne dans ces milieux-là, je crois qu’il est rare qu’on ne se salisse pas les mains un peu… Surtout lorsque nos activités demandent l’investissement professionnel de 300 membres de notre société. Il faut mettre un frein au gangstérisme et punir plus sévèrement ceux qui le pratiquent, et je ne suis pas contre la réhabilitation des criminels, loin de là, mais je crois qu’il faut d’abord prévenir le crime avant de le réparer, et qu’une sentence plus grande saurait dissuader plusieurs de commettre des actes répréhensibles

mercredi 9 mars 2011

10 ans de travaux forcer pour le transport de 4.7 Kg de Cocaine


Dans cet article il est question d'une comptable qui s'est fait prendre à l'aéroport de Dakar, elle avait en sa possession 4,7 Kilo de cocaïne. Les agents de l'aéroport qui l'ont interpellé puisque les rayons X avait déscelé la présence de substace interdite. Au moment de sa plaidoirie en cour d'assise elle a déclaré qu'elle s'était faite donner les sacs par 2 sénégalais. De plus, ce n'était pas la première fois qu'elle agissait de la sorte. Elle opérait avec le même modus operandi. 2ans après son arrestation on ne pu prouver que c'était de la drogue ce qui lui procura son acquitement. Cependant, La Cour qui a retenu la culpabilité de Simone Wolter Frowein, l’a condamnée à 10 ans de travaux forcés.

Je trouve cela complétement fou, je suis un grand fan de l'émission "Paradis Perdu" qui joue a Canal D. Il s'agit de gens qui raconte leur histoire, qui sont très similaire à celle de cette allemande. Des gens qui ont un besoin d'argent important et qui voient comme seul moyen de s'en sortir de transporter des quantités importantes de stupéfiants. On voit ce genre d'histoire surtout en europe, mais il serait possible de prétendre que ce genre de travail se fait en Amérique du nord. Je ne suis pas un fervant des gens qui agissent de la sorte. Cependant je ne crois pas que condamné une personne à 10ans de travaux forcer dans le pays de Dakar soit la chose à faire, ils devraient se concentrer d'avantage sur les gens qui abusent des personnes dans le besoin qui servent de mule, au lieu de prendre cette personne qui ne tentait que de survivre.


http://www.popxibaar.com/TRAFIC-INTERNATIONAL-DE-COCAINE-La-comptable-allemande-condamnee-a-dix-ans-de-travaux-forces_a4109.html

12 ans de travaux forcer

un homme agé de 53ans a été reconnue coupable de trafic international de chanvre indien. Au moment de son arrestation il avait en sa possession 258Kg de marijuana. C'est en 2008 que l’Office central pour la répression du trafic illicite de stupéfiants (Ocrtis)au moment de son interpellation on a pu saisir 129 Blocs. Le polygame et père de 3 enfants était détenue depuis le 2juin 2008. Ce dernier estime que l’accusé est un trafiquant international de drogue «sous le couvert d’un commerçant». Pour lui, la thèse selon laquelle l’accusé a reçu le chanvre par erreur ne peut pas prospérer, d’autant que les limiers ont trouvé 129 blocs de 2 kg chacun. «Ce qui n’est rien d’autre que 258 kg de chanvre indien saisis», estime Mame Cor Ndour. Fort de quoi, il a requis 12 ans de travaux forcés à l’encontre de l’accusé.

Pour ce qui est de mon analyse personnel, je ne comprends pas qu'une personne puisse se dire simple commerçant lorsqu'elle se fait prendre. Juste au moment d'être appréhender l'homme d'origine indienne avait en sa possession dans son véhicule 16Kg. Je trouve sa étrange que dans ce pays être prit avec autant de stupéfiant ne lui coute que 12ans de travaux forcer. Ici, au Québec il aurait écopé d'au moins 10ans de pénitencier. Une enquête de plusieurs années auront néanmoins pu arrêter un trafiquant que l'on pourrait appeler de vendeur international puisque sa "production" était destiné aux extérieur.




http://www.lequotidien.sn/index.php?option=com_content&view=article&id=2444:trafic-international-de-drogue-condamne-a-12-ans-de-travaux-forces--il-entretenait-son-commerce-au-marche-sandika-de-pikine-et-a-thiaroye&catid=65:societe&Itemid=34

mardi 1 mars 2011

Rio de Janeiro, Et les Favela

Rio de Janeiro, six millions d’habitants, et ses 700 bidonvilles qui grignotent l’espace en permanence. Un quart de la population vit dans les favelas. Taux de chômage : plus de 20%.

Principale activité économique : le narcotrafic. Au coin des rues, plusieurs centaines de points de vente de drogue fonctionnent 24 heures sur 24, toute l’année. Cocaïne, crack, cannabis, ecstasy. Et les ados sont en première ligne. Avant, à 30 ans on devenait caïd, aujourd’hui à 16 ans. Et on entre dans le trafic à la sortie de l’enfance !

Les 20.000 policiers qui surveillent les favelas sont dépassés, et le gouvernement brésilien a créé il y a six 6 ans la CORE, une unité d’élite spécialisée dans la lutte contre le narcotrafic . 300 d’hommes surentraînés et de gros moyens.


Je trouve complétement allussinant, que les jeunes commencent dès l'age de 13 ans à vendre. Il y a quelques années les Caid avaient 30ans de nos jours ils ont que 16ans. Il est dure à croire que plus de 20 000 policiers n'arrivent pas à enreiller ce problème criant. Ce traffic qui roule plus de 24/24 7/7jours. Que les jeunes soient armé comme de vrai soldat m'exaspère. Non seulement ils en sont fier mais ils se croient de vrai tueur de vrai guerrier puisqu'ils ont rien, sans travail, sans revenue si ce n'est que de leur revenue relative au traffic de narcotique.


Image Lien: cellulaire (personne X)

mercredi 16 février 2011

La légasation de la drogue en Colombie

Un changement de cap est-il possible en Colombie? Le président Santos n'est pas contre la légalisation des stupéfiants si cela peut s'avérer efficace contre le violence. Dans une interview donnée cette semaine dans le magazine "Semana", le président colombien Juan Manuel Santos a fait cet aveu surprenant: " Légaliser la consommation de drogues illicites?

Je ne crois pas aux propos du président Santos. Légaliser la consommation ne pourra guère stopper la violence. Les conséquences de cette action pourraient avoir de mauvais résultats. Étant donné que ce pays a déjà un gros problème avec le cartel de la drogue plus précisément celui de la cocaïne. Alors, il est peu probable de concevoir un pays où la violence diminuerait simplement dû au fait que la drogue n'est plus illégale. Tous ceux qui ont un avantage dans ce genre de marché tenteront d'aller chercher la plus grosse part du gâteau. Il va de soit que cela ne peut se faire sans incident malheureux et certainement impossible qu'il n'y ait pas de sang verser. Nous sommes en droit de nous demander si le gouvernement n'aurait pas un intérêt certain à légaliser ce genre de produit de consommation. Si tel était le cas, nous serions en mesure de comprendre les raisons ayant motivé cette allégation. Alors, dans le cas échéant où la Colombie permettrait cette pratique en place, quelles seront les conséquences de celle-ci, serait-elle bénéfique au niveau des retombés économique et quelles seraient les conséquences à court et moyen terme sur ce trafic dans les autres pays du monde?

Référence: http://www.wikio.fr/international/trafic_de_drogue

mercredi 9 février 2011

Introduction


·         Notre équipe est composée de deux personnes soit Jonathan Leblanc et Maude Côté Lalonde, un duo prochainement diplômé en technique de gestion de commerce au Collège Montmorency. L’aspect social, c’est-à-dire le contact humain, le fait de pouvoir discuter et le côté psychologique de persuasion de la vente nous a attirés puisque c’est un domaine qui ne sera jamais redondant et que des nouveaux défis sont mis en place chaque jour. Ce projet Blog est réalisé dans le cadre du cours « commercer dans un contexte de mondialisation » présenté par Amélie Raymond.  Ce projet nous permettra d’établir un  diagnostic à l’exportation de l’entreprise, savoir recueillir de l’information pertinente sur un sujet, analyser le potentiel de marchés extérieurs en termes d’importation et d’exportation et déterminé les défaillances du système puisque notre sujet est le trafic de stupéfiants entre différents pays. Nous avons choisi ce sujet pour constater l’impact réel sur l’économie et également car malgré les législations ce fléau n’est pas complètement contrôlé par l’État.